Fifa09 simulation
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Fifa09 simulation

Le meilleur forum de simulation de fifa09.
 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Champion's league

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Totti

Totti


Nombre de messages : 3745
Age : 33
Localisation : Belgik
Emploi/loisirs : Foot
Humeur : vas t'faire foutre
Date d'inscription : 04/02/2008

Champion's league Empty
MessageSujet: Champion's league   Champion's league Icon_minitimeMer 20 Fév - 12:10

Ligue des Champions - Les Reds à l'usure



Eurosport - mer., 20 févr. 09:15:00 2008


Grâce à deux buts inscrits en toute fin de rencontre, Liverpool a fini par faire plier un Inter Mila qui a joué à dix durant une heure (2-0). Avant d'aller à Milan disputer le huitième de finale retour, les finalistes de la dernière Ligue des Champions bénéficient d'un avantage conséquent.
Plus d'infos














LIVERPOOL - INTER MILAN : 2-0

Buts: Kuyt (85e), Gerrard (90e)
Il aura finalement fallu attendre les cinq dernières minutes de ce Liverpool - Inter Milan pour voir les Reds enfin concrétiser une domination jusque-là stérile. Trop prévisibles offensivement, les joueurs de Rafael Benitez s'en sont remis à une erreur de marquage des Nerazzurri pour ouvrir le score par Kuyt (85e), avant de doubler la mise sur un exploit personnel de l'inévitable Gerrard (89e). Deux buts qui offrent à Torres et ses équipiers une marge de manoeuvre conséquente avant leur huitième de finale retour prévu à San Siro dans quinze jours. Méfiance tout de même, lors de la dernière confrontation entre les deux équipes en 1965, Liverpool avait également fait la différence à Anfield (3-1), avant de craquer lors du match retour (0-3).
Cette mise en garde n'enlève cependant rien à la prestation d'ensemble de la bande à Gerrard. Elle a su prendre la mesure de la formation italienne à la faveur d'un pressing exercé très haut dans le camp interiste. Une tactique payante puisque les joueurs de Roberto Mancini ont passé l'essentiel de leur première période acculés devant leur but. Au point d'en perdre leurs nerfs, à l'image de Marco Materazzi. Averti très tôt dans la rencontre (12e), l'international italien, qui n'est plus à un rouge près, a été prié de rentrer au vestiaire une vingtaine de minutes plus tard pour avoir retenu irrégulièrement Fernando Torres (30e). Sans aucun doute le tournant du match.
A onze contre onze, Ibrahimovic et ses partenaires avaient déjà du mal à approcher de la cage de Reina. A dix contre onze, ils ne la reverraient plus de la partie, hormis sur une frappe de Cambiasso, qui était de toute façon signalé en position de hors-jeu (68e). Une occasion et c'est tout. Le reste du temps, l'Inter s'est évertué à confirmer, avec brio, son statut de meilleure défense actuelle de la Serie A (13 buts encaissés). Son bloc défensif a longtemps semblé à toute épreuve, et lorsqu'il ne l'a pas été, Julio Cesar a su faire preuve de grande classe, notamment devant Torres (59e). Insuffisant cependant pour empêcher à sa formation une première défaite en vingt-neuf rencontres toutes compétitions confondues. Rageant !
LA DECLA : Roberto Mancini (entraîneur de l'Inter Milan)
On a joué avec dix hommes pendant une heure. Contre une équipe comme Liverpool, qui nous a empêchés d'installer notre jeu, c'est extrêmement difficile. Je savais qu'ils sortiraient un gros match puisque c'est la seule compétition qui leur reste. Mais l'exclusion de Materazzi a changé les choses. Mais il reste le match retour. Le but de Gerrard n'est pas le but de la mort. Il reste 90 minutes à San Siro. Des équipes ont souvent renversé des résultats comme celui-ci.
Revenir en haut Aller en bas
Totti

Totti


Nombre de messages : 3745
Age : 33
Localisation : Belgik
Emploi/loisirs : Foot
Humeur : vas t'faire foutre
Date d'inscription : 04/02/2008

Champion's league Empty
MessageSujet: Re: Champion's league   Champion's league Icon_minitimeMer 20 Fév - 12:12

Ligue des Champions - Une Roma renversante



Eurosport - mer., 20 févr. 08:01:00 2008


Menée au score, l'AS Rome s'est finalement imposée devant le Real Madrid (2-1) en huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions. Mais le champion d'Espagne, grâce à Raul, a peut-être inscrit un but décisif dans l'optique de la qualification pour les quarts de finale.
Plus d'infos













AS ROMA - REAL MADRID : 2-1

Buts : Pizarro (24e) et Mancini (58e) pour l'AS Roma - Raul (8e) pour le Real Madrid
Liga, Ligue des Champions, même combat. Si on s'arrête au résultat du Real Madrid mardi sur la pelouse de la Roma (2-1), il y a de quoi faire, en effet, un joli parallèle. A la différence près que les Madrilènes, fidèles à leur réputation, ne sont pas passés à côté de leur rendez-vous européen. Contrairement de leurs errements loin de Bernabeu en championnat, les hommes de Bernd Schuster ont été à la hauteur de l'événement sur la pelouse du Stade Olympique. Mais en face, il y avait une formation romaine tout aussi joueuse et bien mieux organisée qu'eux. Et réaliste par-dessus le marché puisqu'elle a fini par l'emporter (2-1).
Pourtant, on a longtemps cru que l'inverse se produirait sur la pelouse romaine. Dans une rencontre menée tambour battant dès le coup d'envoi, c'est le Real qui frappe le premier alors que la Roma se cherche encore dans les vingt derniers mètres adverses. Robben, enfin en pleine possession de ses moyens, se charge de jouer les dynamiteurs de service côté gauche. C'est lui qui décale parfaitement Guti en retrait pour l'ouverture du score... Enfin, Raul qui, fidèle à son statut de renard international des surfaces, passe par là et se charge de cette noble besogne (8e, 0-1). 117e apparition en Ligue des Champions et 60e but du recordman de la compétition : Raul a le sourire, son équipe aussi.
La Roma sauvée par... son poteau
Mais les bonnes choses ont une fin. Surtout lorsqu'elles ne se concrétisent pas. Signe avant-coureur d'une partie complètement folle : la défense du Real, pourtant bien campée aux abords du but d'Iker Casillas, grimace à chaque fois que la Roma accélère un peu le jeu. Balbutiant, tâtonnant puis franchement fluide au fil des minutes, le jeu romain prend de la bouteille. Mancini se charge d'embrouiller Miguel Torres sur le flanc gauche. Son centre en retrait est trop court pour Totti, pas pour Pizarro, lancé, qui égalise avec fracas (24e, 1-1). Mérité, le but italien finit de délier les cordons des deux défenses présentes sur le terrain. Le ballon vit, court, vole, visite allégrement les quatre coins du terrain. Un régal pour les yeux même si le mal de crâne, à la longue, n'est pas loin d'être au rendez-vous.
Forcément, à ce petit jeu, il ne peut y avoir qu'un "mort". Toujours aussi élégante à voir jouer, la Roma semble avoir le profil parfait de la victime méritante, tant, à l'image d'un loupé de Giuly (50e), la formation de Spalletti insiste dans sa volonté d'allier beau jeu et efficacité. Mais l'égalisation romaine et la pause ont légèrement calmé les ardeurs adverses. Suffisamment pour endormir une défense espagnole mal alignée sur un raid décisif de Mancini (58e, 2-1). A l'origine du but, un certain Philippe Mexès. A la passe décisive, un dénommé Francesc Totti. Efficaces dans leur registre de jeu, ce sont ces deux hommes, clairement, qui portent ensuite la Roma à bout de crampons dans une fin de rencontre plutôt crispante.
Emoussée physiquement et surtout harcelée par un Real de plus en plus pressant, la formation romaine doit s'en remettre à l'expérience de l'Italien et au coup d'oeil précieux du Français pour ne pas sombrer. Les opportunités de tuer le match sont rares et mal négociées par le camp italien, à l'image de ce contre ralenti côté gauche par Mancini (78e). Heureusement pour la bande à Mexès, le manque de réalisme madrilène est également salutaire aux habitués du Stade Olympique. Quand ce n'est pas le cadre qui se dérobe à Sergio Ramos (61e) et à Van Nistelrooy (67e) ou une tête adverse qui s'oppose à Diarra (68e), c'est le poteau qui stoppe une tentative du Néerlandais (80e). Le coaching de Schuster (Drenthe, Julio Baptista) n'aura pas porté ses fruits. Mais le Real n'a pas à rougir de sa défaite en terre romaine. Le contenu du match a été convaincant, reste désormais à soigner la finition. Avec ce petit but inscrit à l'extérieur, la moitié du chemin, à condition de faire le métier dans quinze jours à Bernabeu, est en ce sens bien tracée.
Revenir en haut Aller en bas
Totti

Totti


Nombre de messages : 3745
Age : 33
Localisation : Belgik
Emploi/loisirs : Foot
Humeur : vas t'faire foutre
Date d'inscription : 04/02/2008

Champion's league Empty
MessageSujet: Re: Champion's league   Champion's league Icon_minitimeMer 20 Fév - 12:13

LIGUE DES CHAMPIONS - Huitièmes de finale aller - LE REAL MADRID SE FAIT PUNIR PAR ROME



mar 19 fév, 23h32



Pour son retour en 2008, la Ligue des champions a offert son lot d'émotions. Les rencontres AS Roma - Real Madrid et Liverpool - Inter Milan ont tenu leurs promesses. Les spectateurs présents à l'Olimpico, à Anfield ou devant leur poste de télévision en ont eu pour leur argent. Le déplacement madrilène en Italie valait son pesant d'or. Un match échevelé où les occasions ont été innombrables. Au final, un score de 2-1 pour la Roma , qui a démontré un état d'esprit irréprochable agrémenté d'un soupçon de réussite. Un score qui permet au Real Madrid , comme aux hommes de Spalletti, de conserver leurs chances de qualification pour les quarts de finale. Intense de bout en bout, ce choc aura surpris par l'absence totale d'entrejeu. Une occasion romaine faisait suite à une percée espagnole. Ou l'inverse, c'est au choix. A ce petit jeu, c'est le Real qui a rapidement ouvert le score par Raul, déviant une frappe de Guti (8e). Menée par sa bête noire, qui était venue gagner à l'Olimpico lors de ses trois dernières visites, la Roma y a toujours cru. Il faut croire que la débandade de l'année dernière contre Manchester (1-7) a porté ses fruits. C'est d'abord Pizarro qui a rapidement remis les deux équipes à égalité (24e), empêchant le doute de s'immiscer dans les têtes. Peu avant l'heure de jeu, Mancini profitait d'une erreur de Gago et d'un amour de passe de Totti pour s'en aller marquer (58e). Porté par un Robben impressionnant, le Real n'a pas su faire fructifier sa domination (57% de possession de balle) et a manqué de réussite dans le dernier geste, comme sur cette frappe sur le poteau de Van Nistelrooy (79e). Le match retour sera tout aussi passionnant, mais le Real ne pourra pas compter sur Ramos, suspendu pour accumulation de cartons jaunes.

Averti lui aussi, mais par ses propriétaires et depuis plus longtemps, Rafael Benitez n'a plus que la Ligue des champions pour se sauver. Et, comme d'habitude, qui dit C1 dit esprit commando chez Liverpool . Mardi, ils ont écrasé l'Inter Milan de leur domination, bien aidés par la rapide et sévère expulsion de Marco Materazzi. La meilleure attaque de la Ligue des champions s'est procuré 23 occasions quand les Italiens n'ont tiré que trois fois au but. Près de 70% de possession de balle en plus. Au final, 2-0 pour les joueurs de la Mersey. Les Nerazzurri confirment leurs difficultés à se surpasser en Ligue des champions, à l'inverse de Liverpool qui a trouvé la faille tardivement par Kuyt (84e) et l'inévitable Gerrard (90e). Les Reds n'ont en plus pas été aidés par l'arbitre qui leur a refusé deux penalties évidents pour des fautes de main.

Les quarts de finale pourraient s'offrir aussi, contre toute attente, à Schalke 04 . Miraculés de la première phase, où ils n'avaient pas marqué dans quatre de leur six matches de poule, les Allemands se sont contentés du minimum à Gelsenkirchen devant un Porto décevant malgré des joueurs comme Quaresma, Lucho Gonzalez ou Lisandro Lopez. Une victoire 1-0 acquise après seulement quatre minutes de jeu sur un but de Kuranyi et qui confirme les difficultés portugaises à voyager. Cent matches européens dans son histoire, cinquante victoires : Schalke fait des choses carré. Enfin, Chelsea n'a pas forcé son talent sur la pelouse de l'Olympiakos (0-0). Les Grecs, toujours invaincus cette saison à domicile toutes compétitions confondues, n'ont pas été pris au sérieux par Avraham Grant. L'entraîneur des Blues a laissé les cadres sur le banc en vue de la finale de la Coupe de la Ligue, samedi. Du coup, sa défense ne devra pas craquer dans quinze jours à Stamford Bridge contre Kovacevic ou Stoltidis. Ou alors il faudra marquer beaucoup. Avec Anelka et Lampard, sans doute. Ou alors, Grant se brûlerait peut-être en jouant avec le feu. L'Olympiakos réaliserait alors la grosse surprise de l'année.
Revenir en haut Aller en bas
Totti

Totti


Nombre de messages : 3745
Age : 33
Localisation : Belgik
Emploi/loisirs : Foot
Humeur : vas t'faire foutre
Date d'inscription : 04/02/2008

Champion's league Empty
MessageSujet: Re: Champion's league   Champion's league Icon_minitimeMer 20 Fév - 22:14

Ligue des Champions - Pato titularisé

Eurosport | mer. 20 févr., 20 h 51
Lors du choc des huitièmes de finale de la Ligue des champions, Carlo Ancelotti a choisi de titulariser Alexandre Pato à la pointe de l'attaque milanaise. Pour le match aller à Londres, Milan présentera un trio offensif Seedorf-Kaka-Pato.
Revenir en haut Aller en bas
Totti

Totti


Nombre de messages : 3745
Age : 33
Localisation : Belgik
Emploi/loisirs : Foot
Humeur : vas t'faire foutre
Date d'inscription : 04/02/2008

Champion's league Empty
MessageSujet: Re: Champion's league   Champion's league Icon_minitimeJeu 6 Mar - 16:07

Ligue des Champions - La Roma l'a fait


Impressionnante de maîtrise, la Roma est venue s'imposer sur la pelouse du Real Madrid (2-1) et assure sa place en quart de finale. Les Merengue n'ont jamais réussi à tromper la vigilance de Romains réalistes aux instants clés. Le Real quitte pour la 4e fois consécutive la C1 dès les 8e de finale.


REAL MADRID - AS ROME : 1-2 (aller 2-1)


Buts : Raul (75e) pour le Real Madrid - Taddei (73e) et Vucinic (90e+2)

Il y a des signes qui ne trompent pas. Surtout lorsque ceux-ci ont tendance à se répéter... depuis quatre ans. Cette saison encore, le Real Madrid restera bloqué aux portes des quarts de finale de la Ligue des Champions. Une contre-performance dans la durée qui fait désordre, assurément, au sein de la Maison Blanche. Et qui ne fait que démontrer la lente régression des Merengue sur la scène européenne. La nouvelle déroute des Madrilènes en C1, cette fois face à la Roma, ne changera pas la donne. Ni au niveau du score concédé à Bernabeu (2-1), ni au niveau du contenu de jeu affiché mercredi soir sur la pelouse espagnole.

Qu'on se le dise, l'élimination du Real en 8e de finale de la Ligue des Champions est méritée. Et ce, sur l'ensemble des deux matches. En fait, les Merengue auraient même déjà pu en percevoir les prémices sur la pelouse du Stadio Olimpico. Habitués à ne pas perdre sur le pré vert romain, les Madrilènes, malgré le but de Raul, avaient affiché quelques lacunes offensives et une défense des plus fébriles. Quinze jours plus tard, le constat est le même. Certes, le Real avait des circonstances atténuantes. Van Nistelrooy, indéboulonnable finisseur côté merengue, était absent sur blessure. Ni Robben, ni Sneijder, les "piles" du jeu du Real, n'étaient alignés sur le terrain de Bernabeu. Mais il y avait Robinho, le Monsieur Météo du groupe dirigé par Bernd Schuster. Guti, Julio Baptista également. Et Raul bien sûr. Tel un renard des surfaces, c'est lui qui vient redonner l'espoir à ses coéquipiers à un quart d'heure de la fin.

Un détonateur nommé Vucinic

Là encore, signe qui ne trompe pas. Le capitaine emblématique du Real égalise à la 75e minute de jeu sur un but tout à fait hors-jeu, sur une erreur d'arbitrage donc. Sur une faute d'inattention également de la défense romaine. Car hormis cette action décisive, le Real n'a pas été impressionnant dans le jeu collectif et n'a pas eu grand-chose à se mettre sous la dent. Comme au match aller, le jeu a été giallorosso, le ballon également et les meilleures occasions tout autant. Les Madrilènes, pourtant, ont poussé. Mais il y a eu des mauvais choix, à l'instar d'une tête de Robinho dans la surface alors que le contrôle semblait plus approprié (70e). Des exploits individuels non récompensés également. Une frappe pure de Diarra des vingt-cinq mètres repoussée par Doni (59e). Un coup franc direct de Baptista sur la transversale romaine (49e). Ce sera tout. Un peu maigre pour des Merengue censés faire vivre un enfer à leurs adversaires. Un manque de folie qui témoigne alors de l'impuissance madrilène à porter le danger dans la surface de vérité.

En face, on gère. A sa main. Mexès, boudé par Raymond Domenech dans le onze titulaire de l'équipe de France, domine largement les débats, maîtrise bien les attaquants adverses, s'offre même un retourné acrobatique raté dans la surface madrilène (45e+1). Le Français, à l'image de son club, est partout et ne concède que peu d'espaces. Si derrière, ça va plutôt bien, merci, devant, ce n'est pas mal du tout. Mais fidèle à sa réputation d'équipe joueuse, la Roma semble prendre un malin plaisir à gâcher ses munitions. Aquilani joue le vendangeur en chef. A sa décharge, le jeune International A bute sur le poteau droit de Casillas (18e) avant de voir le portier espagnol se détendre sur une nouvelle tentative de sa part.

Alors, Spalletti et ses hommes se motivent à enclencher la seconde. D'abord par un but splendide de Taddei (73e, 0-1). Ensuite, en faisant entrer le joker de luxe de la Roma, le Monténégrin Vucinic, en réponse à l'égalisation de Raul (75e, 1-1). Le coaching s'avère payant de suite. Non content de provoquer l'expulsion de Pepe (71e), c'est lui qui vient sceller de la tête le sort du Real Madrid (90e+2). Une juste récompense, Vucinic ayant touché la barre peu après l'heure de jeu (67e), sans compter auparavant un raté monumental de De Rossi (88e). Plus tranchants physiquement, vite à l'aise et au diapason surtout de l'événement, les Romains enterrent le Real Madrid dès les huitièmes de finale. Une performance de haut vol, d'autant que celle-ci a été parfaitement maîtrisée par les joueurs de Spalletti. Tandis qu'un géant tombe à terre, un autre semble s'éveiller. Finalement, et vu que la Serie A est promise à l'Inter, la Roma pourrait bien se trouver une nouvelle source de motivation en cette fin de saison.

LA DECLA : Bernd Schuster (entraîneur du Real Madrid)

"Il s'est passé un peu la même chose qu'à l'aller. Mon équipe a fait beaucoup d'efforts face à une équipe très bien organisée, très bien en place. Les joueurs ont tout tenté face à un adversaire très difficile, je ne peux rien leur demander de plus. L'AS Rome est un adversaire très intelligent, ce n'était pas aussi facile que ce qu'on avait pu dire après le tirage au sort. Pour moi, ce n'est pas une défaite. Nous ne nous sommes pas qualifiés mais jusqu'au 1-0, nous dominions le match. Nous n'avons pas su marquer et après nous avons déploré l'exclusion de Pepe et la blessure de Michel Salgado. Je suis content de mon équipe qui a montré du caractère."








Foot - C1 Marcos : « La Roma est en avance »



Pour notre consultant Angel Marcos, l'élimination du Real Madrid par l'AS Roma relève d'une logique absolue. L'équipe italienne est encore supérieure à la saison passée, sans doute la plus avancée de la compétition sur le plan tactique.

« Autant la défaite avait été dure à avaler pour le Real Madrid au match aller (1-2), autant cette fois, l'équipe italienne a été considérablement supérieure. Elle a fait une démonstration technico-tactique de haut vol. Tactiquement, la Roma est difficilement comparable à qui que ce soit. Elle est en avance sur tout le monde. C'est une équipe qui évolue toujours en bloc. Elle presse quand il le faut. Quelle que soit la zone du terrain, le jeu part avec une facilité déconcertante, elle joue comme si elle était sans adversaire. Les entraîneurs font parfois ce type de séance. On appelle ça le ''dix contre zéro''. Avec une équipe en face, la Roma réalise des choses difficiles à obtenir de dix joueurs sans adversaire. Il faut une grande qualité technique pour réaliser tout ça.

Avec l'absence de Van Nistelrooy, puis l'infériorité numérique durant vingt minutes, le handicap du Real était trop important. Il a eu une réaction d'orgueil après l'ouverture du score, mais il a procédé par actions saccadées et individuelles. Ce qu'il a fait de mieux, il l'a fait à dix. Le Real a vendu chèrement sa peau. Mais il était évident que la meilleure équipe était la Roma. Ce Real n'avait pas les armes pour passer. Il s'est présenté avec une équipe solide avec trois milieux défensifs, mais aucun d'eux ne pouvait apporter le surnombre offensivement, pas contre une équipe qui se regroupe aussi bien et laisse si peu de place. Les trois joueurs offensifs, Raul, Julio Baptista et Robinho, ont essentiellement couru après le ballon. Le Real était juste solide.

Par rapport à son parcours jusqu'en quart de finale la saison dernière, la Roma a gagné en autorité défensive, même si elle prend encore beaucoup de risques. Tout le monde adhère à la philosophie de Luciano Spalletti. La saison dernière, la Roma avait battu Manchester United, (2-1) à l'aller avant d'en prendre sept (1-7). Elle a surmonté cet épisode. En phase de poules, la Roma a réussi deux matches extrêmement solides contre MU. La défaite 1-0 à Old Trafford était difficile à encaisser. J'ai vu récemment la Roma contre l'Inter en championnat. L'Inter a égalisé à la dernière seconde alors que son adversaire avait maîtrisé le match de bout en bout... Avoir infligé ça au Real, qui survole la Liga, qui est lui aussi plus solide que l'année dernière, cela laisse penser que la Roma a progressé. Ça ne veut pas encore dire qu'elle va aller au bout, mais elle peut y penser. »
Revenir en haut Aller en bas
Totti

Totti


Nombre de messages : 3745
Age : 33
Localisation : Belgik
Emploi/loisirs : Foot
Humeur : vas t'faire foutre
Date d'inscription : 04/02/2008

Champion's league Empty
MessageSujet: Re: Champion's league   Champion's league Icon_minitimeVen 14 Mar - 15:51

QUARTS DE FINALE :

ARSENAL (ANG) - LIVERPOOL (ANG)

AS ROME (ITA) - MANCHESTER UNITED (ANG)

SCHALKE 04 (ALL) - FC BARCELONE (ESP)

FENERBAHÇE (TUR) - CHELSEA (ANG)

. DEMI-FINALES :

ARSENAL ou LIVERPOOL contre FENERBAHCE ou CHELSEA

SCHALKE 04 ou FC BARCELONE contre AS ROMA ou MANCHESTER UNITED
Revenir en haut Aller en bas
JT2R Crew
Admin
JT2R Crew


Nombre de messages : 5519
Age : 31
Localisation : Belgik SiSi
Emploi/loisirs : F.O.O.T / P.E.R.A
Humeur : A Voir
Date d'inscription : 01/02/2008

Champion's league Empty
MessageSujet: Re: Champion's league   Champion's league Icon_minitimeLun 19 Mai - 22:28

Anelka: "Une finale c’est énorme. Alors deux…"

(FIFA.com) Lundi 19 mai 2008
Champion's league Print Imprimer
Champion's league Emailto Envoyer à un ami
Champion's league Bookmarks Partager





Ce mercredi à Moscou, Nicolas Anelka disputera sa deuxième finale de Ligue des champions de l'UEFA. En 2000, le Français l'avait déjà remportée avec le Real Madrid, au Stade de France face à Valence (3:0) lors d'une finale 100% espagnole. Cette année, c'est avec Chelsea, et à nouveau face à une équipe du même pays, Manchester United, que l'attaquant des Blues tentera, avec Claude Makelele, de devenir le quatrième joueur français à avoir remporté la prestigieuse compétition continentale à deux reprises. Les deux autres Tricolores à avoir réalisé cet exploit sont Marcel Desailly et Didier Deschamps. Deux anciens joueurs de... Chelsea !




Peut-être un bon présage pour l'ancien Parisien qui rêve de conclure en beauté une saison qui l'a vu revenir au premier plan, tant en club qu'en équipe nationale. Attaquant des Bolton Wanderers en début de saison, l'attaquant français aurait pu conclure l'année avec la satisfaction du maintien acquis dans les dernières journées. Mais ses performances de haute volée dans une équipe en grande difficulté lui ont valu de rejoindre Stamford Bridge cet hiver, et ainsi de concrétiser son rêve de retrouver une grosse écurie de la Premier League.

Battu sur le fil par Manchester United dans la lutte pour le titre national, Chelsea espère prendre sa revanche sur la scène continentale. "Nico" évoque, entre autres sujets, ce grand rendez-vous avec FIFA.com.

Chelsea a-t-il évacué la déception de la perte du titre, le week-end dernier ?
Il n'y avait pas plus déception que cela parce qu'on revenait quand même de loin. On avait l'espoir de gagner mais on savait aussi que le titre n'était pas entre nos mains. Malgré tout, c'est Manchester qui détenait la décision. Ils ont fait la course en tête et ils méritent ce titre. Ils ont fait une bonne saison. Maintenant, ça nous a fait du bien de relâcher un peu la pression pour revenir frais.

Sentez-vous la pression monter ? Une forme d'impatience ?
Pas encore. En tout cas, moi, je ne lis pas la presse, donc je ne me rends même pas compte des proportions que cela peut prendre en Angleterre. Je pense que la pression arrivera dans les derniers jours qui précèdent la finale, notamment à notre arrivée en Russie.

Vous étiez au coude à coude en championnat d'Angleterre. Il y aura forcément un parfum de revanche sur cette finale, non ?
Revanche, non, mais comme ils ont gagné le championnat, on va essayer de prendre la Ligue des champions. Sinon, ça serait un peu une saison... on ne va pas dire noire, car c'est toujours bien d'aller deux fois en finale [ Coupe de la Ligue contre Tottenham (1 :2, a.p.) et Ligue des Champions], mais si on perd les deux, ça serait difficile à encaisser.

Le fait d'avoir battu Manchester ( 2:1, à Stamford Bridge) il y a trois semaines vous donne-t-il un avantage psychologique ?
Non. C'est vraiment différent. Ça se joue sur un match, dans un contexte différent. Les deux équipes vont tout donner. Eux veulent réaliser le doublé, nous on ne veut pas terminer la saison sans trophée. On les connaît bien, ils nous connaissent bien. Ça peut donc être un match ouvert - avec deux équipes et des grands joueurs de chaque côté - comme une rencontre hyper fermée. Tout peut arriver. Mais une finale de Ligue des champions, c'est toujours un gros match. Il faudra être concentré, donner le maximum. J'ai eu la chance de la gagner une fois avec le Real Madrid [en 2000]. Il n'y avait pas eu de préparation spéciale. J'étais juste du bon côté ce jour-là. Une finale, ça tient vraiment à peu de choses.

Vous avez donc eu du nez en venant à Chelsea cette saison...
(Rire) Il y a six mois, j'avais dit, alors que je n'étais encore pas ici, que Chelsea allait remporter la Ligue des champions. On verra si ça se vérifie !

Quel souvenir gardez-vous de votre victoire en 2000 avec le Real Madrid ?
J'en garde un très bon souvenir, en plus c'était à Paris, au Stade de France. Une finale de Ligue des champions, c'est quelque chose de spécial car c'est une compétition que tout le monde rêve de gagner. Tu arrives rarement en finale de Coupe d'Europe dans une carrière. Donc quand tu as cette chance et que tu la gagnes, c'est énorme. C'est un des plus prestigieux trophées au monde. Et toi, tu l'as fait. Alors une deuxième finale...

D'un point de vue personnel, quel bilan faites-vous de vos cinq premiers mois à Chelsea ?
Je joue. De temps en temps... (Sourire)

Pas assez à votre goût ?
Il y a beaucoup de concurrence. C'est comme ça. Je le savais avant de venir. Le coach (Avram Grant) m'a expliqué que Chelsea était habitué à jouer en 4-5-1 et qu'il avait l'intention de passer en 4-4-2 l'année prochaine. Il ne souhaitait pas déstabiliser le groupe et changer la tactique. Il faut l'accepter. Il sait ce qu'il fait. Quand je rentre, je joue sur le côté, à gauche ou à droite. Ce n'est pas trop mon poste. Mais je patiente. J'ai patienté très longtemps pour revenir dans un grand club. Ça ne fait que quatre mois que je suis là, donc, pour l'instant, ça ne me dérange pas trop. Je travaille tous les jours à l'entraînement pour gagner ma place en espérant que le coach me fera jouer, et à mon poste.

Néanmoins, il faudrait que cela change la saison prochaine ?
On verra avec le coach. C'est lui qui sait et qui décidera comment on jouera. Mais j'espère jouer un peu plus, c'est certain.

Eprouvez-vous des regrets de ne pas avoir joué plus souvent avec Didier Drogba ?
C'est un peu dommage, oui. On en avait envie tous les deux. Mais depuis que j'ai signé, au mois de janvier, on n'a pratiquement pas joué ensemble.

Il y a une personne contente de votre maigre temps de jeu, c'est Raymond Domenech, le sélectionneur de l'équipe de France...
(Sourire) C'est peut-être bien avant l'Euro. Cela permet de se reposer un peu. On a toujours tendance à vouloir jouer tout le temps. Parfois, ça fait du bien de voir ses coéquipiers depuis le banc de touche. Tant que cela ne dure pas trop longtemps...





Champion's league 2008-01-30t215153z_01_edy11_rtridsp_3_soccer-england-chelsea-reading_35461_full-lnd



Champion's league Trpar1731238_34885_full-lnd





Champion's league Trpar1714807_34112_full-lnd
Revenir en haut Aller en bas
http://xlr-music.skyrock.com
Contenu sponsorisé





Champion's league Empty
MessageSujet: Re: Champion's league   Champion's league Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Champion's league
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Jupiler league
» Joueur de la semaine / Jupiler league

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Fifa09 simulation :: Divers :: Sports-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser